Voici quelques exemples de ce que l'on trouve dans la première pièce de "Hot Dog"( au terme pièce je préfererai le terme box pour la suite des textes). Je proposerai aussi quelques extraits du catalogue édité par le crdp de Guadeloupe...
" Hot Dog "vu par l'auteur (extrait du prologue du catalogue).
Qu’y a t’il à voir dans HOT DOG ? Des chiens crevés, des chiens couchés, des chiens marchant, des chiens en posture de chiens, des chiens en chair et en os ( os de bois, de carton, de métal, de végétaux, de plastiques…), et un peintre en liberté qui s’amuse à faire le chien ( pas trop savant , espérons).
Une imagerie « chienne », donc, qui produit de « chiennes d’images » . Des images pour dire l’errance identitaire, locale dans un premier temps, universelle dans un deuxième, surtout universelle !
Relever toutes les raisons qui m’ont amené à choisir le chien comme icône « symptôme » de l’idée d’errance ? Impossible. Car cette idée est une idée fixe. Comme le chien du même nom.
On dit : « avoir une idée fixe ». Sans doute pour dire que les autres idées ne le sont pas, mais qu’elles tournent toutes autour de la première, lui donnent du relief, une caution, un cadre, une logique par la redite, la variation, la répétition.
Comment la fixité d’une idée peut-elle témoigner d’un concept aussi labile que l’errance ? Comment le paradoxe ici levé va t’il trouver une forme susceptible de mettre en mouvement la fixité ?
Par l’installation. Par la construction d’un dispositif multiple, englobant la peinture, la photo, le son, la sculpture, et les images numériques… Par la mise du tout en un espace structuré en parcours imposé.
C’est quoi une idée fixe ? c’est un point d’origine, à partir duquel il est plus facile de faire l’expérience du départ, du voyage, de l’éloignement, puisque de tout façon on reviendra au point d’origine…Une ancre, pour encrer ailleurs, une borne dans la géographie qui permet au peintre d’ouvrir vers d’autres pratiques et d’autres lieux , pour définir son œuvre comme une « géopeinture ».
Géopeinture ? Concept bien pratique qui permet, comme l’installation, de ne hiérarchiser ni les genres ni les méthodes ni les espaces, renvoyant les médiums divers à ce qu’ils sont de manière convulsive, à savoir des images ( c’est à dire des narrations ). Des images de mort, plutôt que des images morbides, des images de vie, plutôt que des images vivantes ( pas de vidéo ni de cinéma ici, seulement des images fixes, comme « l’idée » ).
Une imagerie « chienne », donc, qui produit de « chiennes d’images » . Des images pour dire l’errance identitaire, locale dans un premier temps, universelle dans un deuxième, surtout universelle !
Relever toutes les raisons qui m’ont amené à choisir le chien comme icône « symptôme » de l’idée d’errance ? Impossible. Car cette idée est une idée fixe. Comme le chien du même nom.
On dit : « avoir une idée fixe ». Sans doute pour dire que les autres idées ne le sont pas, mais qu’elles tournent toutes autour de la première, lui donnent du relief, une caution, un cadre, une logique par la redite, la variation, la répétition.
Comment la fixité d’une idée peut-elle témoigner d’un concept aussi labile que l’errance ? Comment le paradoxe ici levé va t’il trouver une forme susceptible de mettre en mouvement la fixité ?
Par l’installation. Par la construction d’un dispositif multiple, englobant la peinture, la photo, le son, la sculpture, et les images numériques… Par la mise du tout en un espace structuré en parcours imposé.
C’est quoi une idée fixe ? c’est un point d’origine, à partir duquel il est plus facile de faire l’expérience du départ, du voyage, de l’éloignement, puisque de tout façon on reviendra au point d’origine…Une ancre, pour encrer ailleurs, une borne dans la géographie qui permet au peintre d’ouvrir vers d’autres pratiques et d’autres lieux , pour définir son œuvre comme une « géopeinture ».
Géopeinture ? Concept bien pratique qui permet, comme l’installation, de ne hiérarchiser ni les genres ni les méthodes ni les espaces, renvoyant les médiums divers à ce qu’ils sont de manière convulsive, à savoir des images ( c’est à dire des narrations ). Des images de mort, plutôt que des images morbides, des images de vie, plutôt que des images vivantes ( pas de vidéo ni de cinéma ici, seulement des images fixes, comme « l’idée » ).