Toujours ce retour oscillatoire entre le paysage "extérieur" à revisiter, à vivre, à habiter... et le paysage plus intérieur du corps, à réinventer totalement, partant du principe, pourtant daté, de Spinoza selon lequel " nul ne sait ce que peut un corps".... Aux antipodes de Matthew Barney, s'exclure du monde des prothèses et des rajouts (extériorité et apparences sont trop mises en surface ), et travailler le changement corporel "de l'intérieur", traverser un corps neuf, redéfini, alléatoire, inefficace comme une machine de Tinguely. finalement, traverser l'espace-paysage du corps ou donner de l'espace au corps-paysage: un même désir d'habiter la peinture.
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